Le Tamalou

Non, mais, attendez un peu, vous ne voulez tout de même pas que je vous raconte l’histoire du Malade imaginaire…eh bien là, c’est la même histoire :
On remplace les saignées par la transgénèse, on dépoussière le vocabulaire et la syntaxe et puis c’est tout…
Enfin presque ; parce que dans le coup, il y a quatre ou cinq personnages de moins, il n’y a plus de passages d’opéra, ni de ballet (mais du hip-hop), Argan s’appelle Alban, Béralde se nomme Gérald, monsieur Purgon est une femme, et puis ça ne finit pas de la même façon…

On rit toujours autant du malade imaginaire (le tamalou), mais également de la médecine qui est tout aussi ridicule qu’à l’époque de Molière ; si, si !

Amateurs de théâtre classique, préparez-vous au pire.

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